Nombreux mais parfois trop courts pour les points vraiment intéressants comme le Comic-Con ou les effets spéciaux, les suppléments sont vraiment plaisants par leur diversité, mais surtout par l'équipe d'un humour déconcertant, avec qui l'on voudrait vraiment travailler. Nous prévenons les demoiselles que Robin Dunne n'a de cesse de vouloir montrer ses fesses tout le long des bonus mais elles seront floutées la seule fois où vous les verrez. Dommage !
Commentaires audio : Souvent extrêmement intéressants de par les anecdotes et l'humour s'en dégageant, les commentaires audio sont présents pour chacun des épisodes. Commentés pour la plupart par Martin Wood et Amanda Tapping, d'autres personnes de l'équipe s'offrent également ce petit jeu. Nous félicitons le code couleur du sous-titrage, différant selon les intervenants.
DVD 1 :
Les effets spéciaux (08:32) : Pour une série tournée presque intégralement sur fond vert, c'est le supplément logique et idéal mais il est ici vraiment trop court. Entre les décors, les créatures ainsi que les astuces pour que tout interagisse correctement sans faire trop faux, le résultat est bluffant et les comparatifs "avant/après" montrent à quel point le studio Anthem responsable des effets spéciaux ainsi que l'équipe du tournage et celle des acteurs sont doués.
Les visions de Will : "La ligue de baseball" (03:08) : Les tribulations de Robin Dunne et Eddie McClintock (Warehouse 13) lors d'un match de baseball opposant les Rays de Tampa Bay aux Blue Jays de Toronto.
Les visions de Will : "Sur le tournage" (12:47) : Après sa séance de maquillage et d'habillage, Robin Dunne nous fait faire une visite guidée du studio, du camion-restaurant, des caravanes, des plateaux, des décors et même des bureaux. S'en suivront les derniers instants de tournage de la seconde saison et les remerciements émouvants de Martin Wood, Damian Kindler et Amanda Tapping à toute l'équipe.
Les visions de Will : "Sanctuary au Japon" (10:21) : En voyage à Tokyo pour une promo et quelques scènes à tourner, la fine équipe composée par Martin Wood, Damian Kindler, Amanda Tapping et Robin Dunne n'est vraiment pas sortable. A hurler de rire, nous les suivons déambuler dans les rues de Tokyo, puis dans leurs impératifs professionnels, tout en imaginant la prochaine blague ou remarque qu'ils vont bien pouvoir trouver.
DVD 2 :
Sanctuary pour les enfants (01:07) : Sous forme d'un spot publicitaire, Amanda nous expose cette association, "Sanctuary For Kids", créée pour venir en aide aux enfants qui souffrent, et appelle à la solidarité au moyen de ventes aux enchères d'objets de la série.
Sanctuary au Comic-Con (07:45) : Compilation d'extraits du Comic-Con 2009 de San Diego, lors de la séance d'interviews avec les fans. Dans l'ensemble, même si l'arrivée des protagonistes est superbe, les morceaux choisis sont beaucoup trop courts, nous aurions aimé la séquence complète.
Sanctuary autour du monde (03:14) : Présentation rapide de l'existence et de l'intérêt des différents Sanctuaires parsemés dans le monde.
DVD 3 :
Amanda Tapping réalise "Veritas" (03:31) : Après s'être essayée à la réalisation sur Stargate SG-1, Amanda reprend la casquette sur ce septième épisode de Sanctuary, et le moins que l'on puisse dire, c'est que ses collègues, et surtout le réalisateur Martin Wood, ne tarissent pas d'éloges sur son travail. Amanda réussit tout.
Anatomie d'un épisode : "Le calamar & le scorpion" (16:03) : Sous forme d'un making of de l'épisode 8, le "bouteille" de la saison, nous apprendrons d'où est venue l'idée du scénario et nous verrons sa mise en place ainsi que les contraintes liées au tournage quand tout se déroule dans un immense réservoir rempli d'eau.
DVD 4 :
Bêtisier (04:53) : Un classique bêtisier où l'on rit toujours de bon cœur mais l'avantage de celui-ci est de voir un peu l'envers du décor grâce aux nombreuses séquences sur fond vert. De plus, nous découvrons encore une Amanda difficile à gérer sur un plateau, prenant plaisir à faire rire ses collègues.
Robin Dunne danse à Bombay (12:03) : Making of de la scène de danse de l'épisode final se passant en Inde, où l'on apprend que les rues de Bombay ont été fabriquées de toutes pièces dans le parking du studio et que l'idée de la danse bollywoodienne vient au départ d'un délire. Nous admirerons les premiers pas difficiles de Robin jusqu'à son triomphe lors du tournage. Supplément très sympathique et entraînant, dépaysement garanti.